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Hier, j’ai voulu faire un truc pourtant simple: passer d’un SSD NVMe de 1 To à 2 To pour garder une machine propre et rapide. C’est une opération que je fais souvent, donc je pensais régler ça en une demi-heure.
Sauf que pas du tout.
Après le clonage, le BIOS ne voyait plus le nouveau SSD. Rien. Le néant total. J’ai tourné autour du problème pendant deux heures, à tester, démonter, remonter… jusqu’à comprendre que mon disque d’origine était chiffré directement via le BIOS avec BitLocker. Résultat: impossible d’obtenir un clonage bootable propre.
Et pourquoi je me suis lancé là-dedans à la base ?
Parce que j’ai découvert que le type de SSD que j’utilise commence à perdre en perfs au-delà de 60 % d’occupation… et je suis à 90 %. Forcément, ça pique. Je veux un environnement de travail qui répond vite, sans latence, surtout avec les charges que je lui envoie.
Donc cette semaine: je me plonge dans les bonnes pratiques, les nouvelles méthodes de migration, et sûrement un peu de tuning pour repartir sur un setup vraiment performant.
Parfois, même un geste technique qu’on maîtrise te rappelle qu’on apprend tous les jours.
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